À lire aussi Plusieurs Villes reportent leurs activités d’Halloween au 1er novembre
La décision de la Ville de Sainte-Catherine de laisser le libre choix aux parents de distribuer des bonbons le 31 octobre ou le 1er novembre ne fait pas l’unanimité auprès de ses citoyens.
Contrairement aux municipalités avoisinantes, la Ville n’a pas suggéré de repousser la date de la collecte au 1er novembre «par respect pour les familles ayant planifié leurs activités en fonction de l’Halloween et qui ne pourraient pas les reporter au lendemain».
«Cette décision appartient aux citoyens qui pourront juger eux-mêmes de faire passer leurs enfants en toute sécurité la journée qui leur conviendra», ajoute la Ville. Cette dernière précise que la Régie intermunicipale de police de Roussillon assurera la sécurité du territoire les deux soirs.
La Maison des jeunes Équinox maintiendra sa maison hantée le 31 octobre à l’intérieur.
Plus de 300 internautes se sont exprimés sur la page Facebook de la Ville de Sainte-Catherine, la plupart pour s’opposer à cette annonce.
«Ben voyons donc!! Choisissez un ou l’autre! Pas le choix entre deux!!!!
C’est quoi je vais dire aux jeunes qui décident de passer jeudi si j’ai décidé de donner le vendredi ? Reviens demain ?
Il vaut mieux trancher entre une journée ou l’autre! Très mauvaise décision de la ville d’offrir le choix!» – Marc Burbridger
«Wow, quelle mauvaise idée de ne pas prendre de décision…» – Anie-Claude Tétreaultr
«Voilà comment gâcher la soirée des enfants de Sainte-Catherine… peu importe laquelle ils choisissent! Il y aura bien des déçus dans cette histoire!!!!» -Isabelle Cossetter
«Je connais des gens qui mettent beaucoup d’effort, de temps, d’énergie et d’argent afin d’offrir un bel Halloween aux petits monstres! Il y a des gens pour qui cela va au delà du fait d’allumer leur lumière et ouvrir leur porte pour donner des bonbons! Leur imposer votre indécision est un incitatif à ce qu’ils ne mettent pas tous ces efforts l’an prochain. Vraiment dommage que les enfants paient le prix parce qu’une ville a peur de trancher.» – Caroline Gilbert
