Les adeptes de sports et de loisirs pourront bénéficier d’un été plus actif, tout particulièrement dans les régions qui passeront en zones jaunes et vertes en juin.
Vers le 11 juin, plusieurs régions pourront passer au palier jaune. Dans ces régions, les sports et activités de loisirs supervisés avec des contacts brefs (tels que le soccer, le volleyball et le baseball) seront permis à l’extérieur, en groupe de 25, selon le protocole des fédérations sportives.
La ministre déléguée à l’Éducation Isabelle Charest en a fait l’annonce lors d’un point de presse le 27 mai.
Lorsque la majorité des régions passeront au vert à la fin juin, il sera alors possible dans ces zones de tenir des compétitions et tournois et d’accueillir des spectateurs, en respect des règles concernant les rassemblements.
En zone verte, les activités en groupe de 50 personnes seront permises.
Les activités sportives avec contacts brefs seront aussi permises à l’intérieur, mais limitées à un maximum de 25 personnes (ne comptant que les personnes sur le terrain).
Les grands événements pourraient aussi être autorisés dès le 25 juin, et les règles qui s’appliquant aux festivals devront être suivies.
La ministre Charest a également précisé que les sports de combat pourront reprendre à l’intérieur, en zone verte.
Dans les zones rouges et oranges qui ne passeront donc pas au jaune à la mi-juin, les activités sans contact comme le tennis, le pickleball ou encore l’entraînement, seront autorisées. La majorité des installations sportives intérieures, incluant les gym, pourront ouvrir au palier orange. Les usagers devront porter le masque.
La Montérégie passera en zone orange dès la semaine prochaine, mais le gouvernement n'a toujours pas identifié le moment exact où la région deviendra une zone jaune.
«Ce plan des activités sportives et récréatives s’appliquera si, et seulement si, la situation épidémiologique continue de s’améliorer, a soulevé Mme Charest. Il ne faut pas baisser la garde.»
Les mesures en vigueur dans les milieux scolaires continuent de s’appliquer.
«Il reste encore quelques semaines de patience, mais on s’en vient vers une certaine normalité », s’est réjouie Mme Charest.
