Les trois incendies de cabanon survenus dans la nuit de mardi à mercredi à Sainte-Catherine et Saint-Constant ne sont finalement pas d’origine criminelle, selon les policiers.
Le premier sinistre s’est déclenché à 23h52 sur la rue Vallières à Saint-Constant. «Un article de fumeur serait en cause», rapporte l’agent Jean-Pierre Dolbec, de la Régie intermunicipale de police Roussillon.
Un deuxième incendie s’est déclaré vers 1h30 du matin dans un cabanon de la rue Jogues à Sainte-Catherine. Les flammes se sont propagées à un autre cabanon situé dans la cour d’une maison voisine de la rue Titanic. Une clôture, une haie de cèdre et le revêtement de maisons ont aussi été abimés par la chaleur.
«Il y a eu des dommages collatéraux aux propriétés environnantes». confirme M. Dolbec.
Contrairement à ce que le policier avait avancé il y a quelques jours, la cause de l’incendie est indéterminée pour le moment.
Dans les trois cas, aucun occupant n’a été blessé.
Le Service de sécurité incendie de Sainte-Catherine – Saint-Constant avait soulevé hier l’hypothèse criminelle pour expliquer ces trois incendies dans la même nuit.
«Il s’agit d’un drôle de hasard, mais il est bien question de causes accidentelles», soutient M. Dolbec.
