Moins de nids-de-poule ce printemps

le vendredi 1 avril 2016

Selon les municipalités consultées par Le Reflet, les nids-de-poule sont plus rares ce printemps. L’hiver moins rigoureux et de meilleures techniques pour les boucher expliqueraient leur diminution.

«Notre méthode a été améliorée pour colmater les nids-de poule. Nous utilisons l’asphalte tiède ainsi qu’une remorque pour asphalte», a indiqué Chantal Croteau du service des communications de la Ville de La Prairie.

Sans étonnement, on apprend que les nids-de-poule sont particulièrement présents dans les quartiers et secteurs plus âgés ainsi que sur les rues collectrices où il y davantage de véhicules lourds qui circulent, comme à Delson.  

Les Villes invitent leurs citoyens à communiquer avec elles afin de signaler la présence de nids-de-poule. Certaines d’entre elles bénéficient de l’application mobile Voilà, comme à Delson où le contribuable n’a qu’à photographier le trou en question.

Dans tous les cas, ce sont les employés cols bleus qui procèdent aux réparations.

 

En chiffres

5 120 $ : coût moyen annuel des Villes pour colmater les nids-de-poule

4 : nombre moyen de jours qui s’écoulent entre le signalement d’un nid-de-poule et sa réparation.