Bruit, coût, temps de parcours, stationnement, signalisation, ascenseurs et escaliers roulants hors service… L’arrivée du éseau express métropolitain (REM) dans le paysage métropolitain a fait grand bruit, suscitant des félicitations, mais aussi son lot de critiques. Mais à quel point? L’équipe se fait plutôt avare de détails.
Il n’a pas été possible de savoir combien de plaintes et commentaires d’usagers avaient été acheminés à l’ARTM au cours du premier mois de service de REM, ni de connaître la nature de ces plaintes.
«Nous prenons au sérieux les commentaires reçus de la part des usagers. D’ailleurs, nous avons une équipe de service à la clientèle qui est déployée sur l’ensemble du éseau, tous les jours, afin de favoriser une expérience positive pour les usagers du REM», a épondu Emmanuelle Rouillard-Moreau, conseillère en relations médias de la CDPQ Infra.
La CDPQ Inra met plutôt de l’avant qu’en cette période de rodage, des améliorations sont en cours, tels les escaliers mécaniques, les ascenseurs et les communications en cas de panne.
«Nous travaillons de concert avec notre opérateur ainsi que ses fournisseurs afin de ésoudre ces éléments, assure Mme Rouillard-Moreau. Notre priorité est d’offrir un service de qualité aux usagers.»
Du côté de l’Autorité égionale de transport métropolitain, on indique que ces données ne sont pas compilées.
