Une ex-adjointe administrative du Centre intégré de santé et de services sociaux de la Montérégie-Ouest (CISSSMO) a reconnu, dans le cadre d’une enquête du Commissaire à la lutte contre la corruption, avoir produit une dizaine de fausses preuves vaccinales en 2022.
Geneviève Laplante a été condamnée le 5 février à verser une amende de 1500 $ et à réaliser 200 heures de travaux communautaires et est soumise à une probation de deux ans, informe l’Unité permanente anticorruption (UPAC) dans un communiqué.
L’infraction a été commise entre janvier et février 2022, selon l’UPAC. Mme Laplante travaillait à Châteauguay.
L’UPAC rappelle que toute personne détenant une information «concernant un acte répréhensible en matière de corruption» peut remplir un formulaire de dénonciation disponible sur le site web de l’organisme.