VIDÉOS – 50 ans de souvenirs à JDLM

le vendredi 23 juin 2023

Une centaine d’anciens élèves ont souligné la fin des festivités du 50e anniversaire du Collège Jean de la Mennais, à La Prairie, le 22 juin.

Des finissants des années 70, 80, 90, et 2000, des membres du personnel et des directeurs se sont rassemblés pour prendre part à plusieurs activités durant la journée. Les employés et les retraités étaient attendus à 14h30 pour parler du bon vieux temps avec un verre de mousseux à la main.

«Ça fait chaud au cœur de voir des anciens retrouver les gens qu’ils n’ont pas vus depuis plusieurs années, s’est réjoui Sylvie Dupuis, directrice générale. Je pense qu’on va faire des retrouvailles beaucoup plus souvent qu’aux 50 ans.»

Par la suite, une prestation musicale leur a été présentée à l’auditorium, suivie d’un discours de Mme Dupuis et d’une vidéo commémorative présentant en images et en témoignages les moments marquants des 50 dernières années du collège.

«Le grand rassemblement du 22 juin marquera les esprits de nos anciens et de la communauté, a enchaîné la directrice. Un demi-siècle se célèbre en grand et nous poursuivons fièrement l’histoire de la grande famille menaisienne»

Vers 17h, les anciens élèves ont été convoqués à la verrière pour assister au dévoilement de la murale conçue par l’artiste Annie Hamel. Cette dernière a rencontré les élèves, les intervenants et les sous-comités afin que son œuvre reflète les valeurs de l’établissement scolaire.

Par la suite, les invités ont participé à des ateliers conçus sur les thèmes de leur époque, soit la musique disco des années 70-80, des arcades pour les années 90 et des casques de réalité virtuelle des années 2000 et plus.

Souvenirs

Plusieurs finissants ont dit apprécier pouvoir échanger sur leurs souvenirs, alors que d’autres ont évoqué le sentiment de fraternité qui les a unis lors de leur parcours scolaire.

«Nous sommes comme une grande famille, a indiqué Richard Myre, ex-directeur général de JDLM de 2010 à 2021, qui a aussi gradué en 1982. Même si on ne se voit plus souvent, on s’aime pareil.»

«En première année du secondaire, [l’ancienne directrice du premier cycle] Élizabeth Harvey était mon enseignante d’économie familiale, a fait savoir une autre participante. C’est grâce à elle si j’ai bien amorcé mon parcours et j’avais dit à mon amie que j’appellerais ma fille en son honneur. Je suis fière de l’avoir fait.»