Ouf, « Moi j’ai un ami blanc », tout un projet intéressant! Julien Boisvert, l’initiateur, et ses acolytes, contestent les discours en utilisant l’humour, le pastiche, le web interactif et le médium de la vidéo.
Tout ça doit être perçu comme un cadeau, alors que les blancs ont rarement l’opportunité d’expérimenter ce que les personnes racisées vivent sur une base quotidienne.
C’est un projet qui a été scénarisé par huit artistes de cultures différentes : atikamekw, anishnabe, haïtienne, congolaise, camerounaise, tunisienne et… québécoise!
Comme quoi on peut avoir de l’autodérision parfois… Surtout, quand ce sont les blancs qui deviennent l’exotisme, ça nous fait rapidement reconnaître l’absurdité de certains de nos commentaires!
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